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| Sujet: [Poémes] Une plûme qui glisse entre les doigts Ven 3 Aoû 2007 - 21:51 | |
| Voilà quelques uns de mes poèmes en guise de contribution. N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez. Nos éclats de rêve...Je rêve sous la pluie de te serrer très fort. Je rêve chaque nuit à l'ôdeur de ton corps. De nos rires à nos larmes, je me souviens de tout, Chaque jour, de t'avoir aimé comme un fou.
Te rappelles-tu encore de toutes nos promesses, De nos baisers, nos étreintes de tendresse. Te rappelles-tu de nos promenades improvisées Où pour la première fois nos mains se sont croisées.
Attend moi ma mie, mon amie, mon âme soeur, Toi ma dulcinée pour qui je courbe l'échine. Mon amour qui chaque jour fait battre mon coeur!...
Loin de toi, mon être tout entier crie famine. Sans regret ni remord, je sors le couteau, A l'ombre de la mort, je te rejoins bientôt...Petit poèmeElle a fermé les yeux, elle a tendu l'oreille, Le temps d'un 'pardonne-moi, m'aimes-tu encore?'. Elle pleure comme une enfant, blessure de la veille Priant que je la délivre de tous ses torts.
Elle me dit tout bas qu'elle a très très mal au coeur Qu'elle pourrait mourir si j'en exprimais l'envie. Que sans moi, sa vie n'est qu'un berceau de malheurs, Qu'elle a besoin de moi pour marcher dans sa vie.
Touché, je serre le poing comme on serre la douleur, Dans son étau, avant qu'elle ne décourage. Blessé, je m'en vais avec seul mon deshonneur.
J'ai beau la détester, comment tourner la page. De celle que j'ai aimé, elle est restée la même; Va petit poème, dis lui ô combien je l'aime!Le chant des missilesJe l'entends encore me demander, souriant, 'Pourquoi y a t-il tous ces missiles et ces canons' 'Pourquoi y a t-il, dans le ciel, de si beaux avions'.
Je l'entends encore nous dire délicatement, 'J't'aime Papa, et ça tu sais, c'est pour la vie' 'Maman toujours là même quand j'ai peur la nuit'.
Je l'entends encore qui court, qui saute et qui rit De joie et de bonheur, d'amour et de câlins S'endormir sans se soucier du jour qu'est demain.
Alors pourquoi a t-il fallu qu'il court, qu'il crie Sous les chars d'assauts, les morts et les bombardiers.
Pourquoi a t-il fallu d'un seul carabinier Et d'une seule balle, pour lui ôter la vie.
Pourquoi a t-il fallu qu'il y ai cette fichue guerre Pour y perdre les personnes qui nous étaient cheres.
Que vais-je dire maintenant à sa mére Si ce n'est pardon, pardon et encore pardon.
Pardon d'avoir cru en un monde et une nation Intelligente, aimante et soucieuse de ses pairs.
Pardon d'avoir cru en nos hommes, en nos fréres Alors qu'eux ne pensaient qu'à cet'maudite guerre.
Pardon d'avoir envoyé ton être fragile, Ton fils tant adoré, sous le chant des missiles...Inspiration du poèteJe léve les yeux, je rêve et mon coeur s'éleve D'amour et d'évasion, caresse à la passion; Tu esquisses ma vie, tu dessines mes rêves, Être ton ange gardien, telle est ma mission.
Mais fugitive, douce illusion, je t'imagine. Je ferme les yeux, je rêve et mon coeur s'anime, Car tout chez toi est merveille qui me fascine, Voila ce qui me pousse à écrire ces rimes.
Dans un monde éternel emplit de mystères Est mon âme, dont tu en es l'unique héritière Inspiration du poète, Élue de mon coeur.
Douces confidences tendrement murmurées, Qui ne se résume qu'en un très chaud bonheur D'un amour à jamais couché sur le papier...De sa beauté légèreDe sa beauté légère, n'en tire aucune gloire, Elle est femme soumise, sa vie n'est pas de mise. Dans sa douce misère, parfois se laisse choir; Et c'est son corps qu'on vise, blessure de la crise.
Des mots doux et des pardons, elle excuse l'outrage. Amour blessé amour trahi, elle sourit. Il promet de rester sage, de contenir la rage; Il adore sa femme, elle n'a connu que lui.
Bras d'acier, Bras de fer, c'est l'appel de la chair, Affamé comme un loup de ses bras qui la serre, Elle n'a connu que lui, l'abominable époux.
Femme soumise aura aimé l'amour d'un fou. Avant qu'elle ne décourage, la lame à son cou, Perpétuant l'adage, le suivra jusqu'au bout.Tel est pris qui croyait prendreC'est l'regard determiné qu'il s'en va en guerre Jurant de mettre à terre l'objet de sa colére. Le fusil par dessus l'épaule, l'oeil effronté, Le voilà prêt à tuer son ennemi juré. ------------ Discret mais fugitif, le voilà attentif Aux moindres faux pas d'un homme à l'offensif. Il a peur de mourir, il a peur de souffrir Car beaucoup de ses frères il a vu périr.
Alerte et intuitif, il cherche à se cacher, Non sans peine, il court à travers tous les dangers D'un homme qui veut à tout prix le capturer. ------------ Debusqué, il tira une balle efreinée. 'Raté' mais pas grave, il reviendra demain Non sans peine, pour tuer ce satané lapin! |
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