Destruction by Arika-chan

Je ne sais pas pourquoi, tout à coup il m'est venue une envie d'écrire, oui je sais à onze heure et demi du coir c'est logique Razz

Donc voilà bonne lecture =)

Destruction

Il était le dernier survivant de cet ultime combat, qui n'avais duré que quelques heures et qui avait tout détruit, pour exaucée le désir d’un seul homme.

Cet homme, qui avais pris le pouvoir quinze année plutôt, n’avais qu’une volonté, être le maître absolu. Celui qui vaincrais et devant qui on se soumettrais. Cette volonté, il l’avais depuis l’enfance. Fils de la haute noblesse, il n’avait toujours eu que le mépris pour ses camarades. Les professeur lui trouvait une âme de dictateur, mais de là à imaginer les monstruosité qu’il commettrais pendant son règne, mais son père, qui était fier de son fils n’avais imaginé qu’il en serait capable. Tout son corps ne pensait que pouvoir, c’est cela qui faisait sa puissance. Sa rage contre la race humaine et son désir de vaincre, de contrôler, de posséder ce qui l’entourait. ses maîtresses pourraient le confirmer, si elles étaient vivante. Mais personne, a par ce jeune homme avait survécu.

Il errait seul, dans les rues de ce qui était la ville de Tokyo, ravagée par les flammes de la destruction. Titubant, il manqua de trébucher sur un bras, arraché de son corps, terminant de brûler tranquillement, son bras droit qu’il s’efforçait de bien tenir avec le deuxième, lui faisait atrocement mal, ayant reçu les restes d’un pare-brise, projeté avec violence par l’explosion de la voiture. Il savait qu’il lui restait des morceaux de verres dans le bras, mais il cherchait désespérément sa femme, souhaitant, si elle était morte, lui offrir une sépulture correcte, rempli d’amour dans ce monde maintenant chaotique.

Une autre explosion le fit tomber à terre, enfonçant un peu plus le verre dans sa blessures. L’odeur du sang et du brûlé lui emplissait les poumons et l’intoxiquait un peu plus. Après s’il lui restait du courage, il soignerait sa blessure, et il chercherait le monstre qui avait provoqué cela.

Il se releva difficilement mais déterminé et accéléra le pas. Sa maison, où du moins ce qu’il en restait était pas loin. Il avait précipité sa femme dans la cave, pour la cacher avant de partir se battre contre le dictateur, qui avait invoqué le Dieu du chaos et de la destruction dans le but d’obtenir son pouvoir, mais ils étaient arrivés trop tard. En quelques seconde, ceux et ce qu’ils avaient aimés n’étaient devenu rien de plus que des cadavres et de la cendre.

Il devait réussir, s’il avait survécu à la quasi-destruction de la race humaine, il survivrait bien à une légère blessure. Il se rappela ses cours de combat lorsqu’il était au lycée. La douleur n’est que psychologique, si tu le comprend et que tu maîtrises cela, on pourrait t’arracher les yeux que tu n’aurais pas mal. C’est la mentalité des fakirs, cela doit aussi être la tienne.

Enfin il apercevait sa maison, enfin les restes. Le corps de sa femme gisait à l’intérieur, comme il avait espéré de tout cœur. Serrant sa plaie avec un morceau de la robe, il souleva ensuite le corps léger de sa bien aimée et le porta à l’extérieur, avant de l’enterrer dans ce qui était leur jardin.

Voyant la petit aubépine blanche, se dresser fièrement dans ce chaos, il se souvint alors le rire et la joie de sa femme lorsqu’ils l’avaient découvert, ce même jour où ils avaient appris qu’elle était enceinte. Une larme coula sur sa joue, qu’il se dépêcha de sécher, n’oubliant pas pourquoi il était là. Il creusa la tombe juste devant cette petite fleur et y enterra sa femme, l’ayant préalablement enveloppée d’un linge blanc. Lorsqu’il déposa la dernière pelleté de terre, fermant totalement la tombe, il laissa enfin couler ses larmes et hurla sa douleur.

Sa blessure était trop profonde pour qu’il puisse la soignée, il savait qu’il ne lui restait plus longtemps à vivre, c’est pourquoi, jetant un dernier regard empli de tristesse sur la tombe de sa femme et pris le chemin du palais de l’empereur.

Alors qu’il gravissait les dernières marches, pouvant le mener à son but et à sa vengeance, la douleur de son bras augmenta, il luttait mentalement pour calmer cette douleur mais celle-ci semblait être plus puissante. S’il ne pouvait venir à bout de cette simple douleur, comment pouvait-il espérer avoir une chance contre un magicien de 1ère classe, suffisamment puissant pour invoquer un dieu tel que celui du chaos et de la destruction ? c’était tout bonnement impossible. Il était un perdant.

Sur cette dernière pensée il s’écroula, ayant trop forcé son corps si faible, il ne pouvait plus continuer. Sa vision devint de plus en plus floue, de plus en plus noire, puis une lumière blanche éclata et une douce musique l’attira.

C’était terminé, il était mort sans avoir pu se venger de cet homme qui lui avais pris sa femme, son futur enfant, son monde et même sa vie. Quelque chose lui chauffait la main… une aubépine, blanche et avec fière allure, comme celle surplombant la tombe de sa bien aimée.

La chaos et la destruction avait remporté la victoire face à l’amour

The end =)

[j'espère qu'il y a pas trop de faute d'orthographe >___<]

Y'a quelques fautes, rien de très méchant, en revanche, bien que l'histoire est pas mal du tout, ça fini assez mal ton truc...

Fais en d'autre si l'envie t'en prend ;)

Voila.

héhé merci =)

j'aime pas écrire des histoire à l'eau de rose et j'suis assez du genre extremum ^^

alors c'est le but que ca finisse mal ^^

Ouais, pour les fautes, y'en a qqes unes mais osf :p lol!

Sinon, joli ^^ sauf que j'ai un peu eu pitié pour le gars à la fin :p

thanks

pourquoi ca finit mal Y_Y Cry

!!

c'est jolie sinon ^^ "qq" fautes d'ortho, mais c'est oublié ;)
merci au passage, j'ai appris ce que c'est qu'une "aubépine" Razz

merci à vous ^^

comme je l'ai déjà dit ici où sur la box, j'aime pas écrire des histoires à l'eau de rose qui finissent par "ils vecurent heureux et eurent beaucoup d'enfant" alors mes histoires finiront toujours mal Very Happy

>_________<
désolée pour les fautes d'orthographes

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