Saga Macross

alors je sais pas si je fais un hs ou pas car une partie de macross est licenciée d'autre non mais je crois que la majorité est licenciée ^^

la série de mecha que je préfère, pour moi macross c'est :
- des phases de combats qui alternent entre avions, avions/robots et robots.
- des missiles qui partent dans tout les sens
- c'est speed et bourrin (on se demande comment font les pilotes pour éviter lasers et missiles d'ailleurs XD)
- des personnages attachants.
- des musiques speed avec de bons tits solo parfois.

tite présentation de la saga macross prise sur : http://www.leflt.com/metropolis/chroniques/chronicle.php?chro=1

Question : Macross ou Robotech ?

Chojiku Yosai Macross débute sa diffusion japonaise le 03 Octobre 1982. Série originelle réalisée par le Studio Nue et Big West, produite par Tatsunoko Productions, elle compte en tout et pour tout 36 épisodes dont le dernier sera retransmis le 26 Juin 1983. C’est ici qu’il faut dissiper les confusions : avec ses 85 épisodes, Robotech n’est donc pas Macross. Robotech – diffusée en France sur La 5 dès 1987 – est une version américanisée et complètement remaniée, pour ne pas dire dénaturée de la série. Achetée en 1985 par la Harmony Gold Society, Macross est trop brève au goût des programmateurs des chaînes US. Par conséquent deux autres anime sont acquéris auprès de Tatsunoko Productions – Southern Cross et Mospeada – afin d’être agencés à la suite de Macross. Bien que les trois séries n’aient aucun rapport entre elles, le scénariste Carl Macek va modifier l’histoire, changer les dialogues, effacer certains éléments à sa guise afin que, mis bout à bout, ces trois programmes n’en fassent plus qu’un : la chère Robotech de notre enfance. Evidemment le résultat final laisse quelque peu sceptique, mais cette charcuterie aura eu le mérite de faire connaître Macross aux occidentaux, bien qu’à leur insu et dans une version plus que contestable…

Macross : la série culte

Mais revenons-en à Macross première du nom. La trame, qui pourrait paraître classique de nos jours, s’avérait plutôt sophistiquée pour l’époque : en l’an 1999, un gigantesque vaisseau extraterrestre s’écrase sur l’Ile d’Atalie dans le Pacifique Sud. La Terre, dont les plus éminents savants identifient l’appareil comme étant une arme de guerre, prend conscience de l’existence d’êtres à la technologie bien plus évoluée que la nôtre. Dans la perspective d’un conflit potentiel avec les extraterrestres naît le projet de création d’un gouvernement terrestre unique : la Guerre d’Unification commence alors, faisant des millions de victimes. Dix ans plus tard, le vaisseau réparé par les Forces Unies a été rebaptisé SDF-1 Macross. Le monde s’apprête à fêter l’inauguration du premier envol de l’engin depuis l’Atalie, mais durant l’évènement le Macross s’active de manière autonome et émet un puissant laser qui traverse l’espace jusqu’à percuter la flotte extraterrestre des Zentraedi. Une bataille suit immédiatement cette déclaration de guerre involontaire, les Zentraedi ripostant en attaquant la planète bleue. Afin de protéger les populations, le Macross se téléporte à l’autre bout du système solaire, emportant accidentellement l’Ile d’Atalie et ses habitants avec lui. Désormais, le Macross n’a plus qu’un seul but : rejoindre la Terre tout en déjouant les embûches semées par les Zentraedi. Pour cela, il dispose des seules machines pouvant rivaliser avec l’ennemi : les Valkyries, des robots transformables de l’UN Spacy construits en séries. Embarqué malgré lui dans l’aventure, le jeune Hikaru Ichijô deviendra l’un des plus brillants pilotes de Valkyries du Macross et vivra une idylle mouvementée avec une civile, la chanteuse Lynn Minmay dont les morceaux joueront un grand rôle durant la lutte contre les Zentraedi…
Ce résumé, qui ne tient pas compte de toutes les richesses scénaristiques élaborées par Shôji Kawamori – par ailleurs créateur des fameux Valkyries, en tant qu’étudiant en design industriel et passionné d’aéronautique – tendrait à faire croire que Macross est une énième série manichéenne de robots se disputant avec des aliens : il n’en est rien. Macross est fondée avant toute chose sur ses personnages, aux relations subtiles, aux contrastes forts et aux passés recherchés : contrairement aux apparences, il n’y a pas de réels méchants dans la série et le conflit entre Miclones – Terriens – et Zentraedi prend peu à peu une tournure originale, au fur et à mesure que la ProtoCulture semble nous indiquer que les deux races ont de mêmes origines. Plutôt qu’un anime à mechas, certains fans voient donc plutôt en Macross une œuvre sur l’absurdité de la guerre, voire une série sentimentale teintée de science-fiction – à ce titre on ne compte plus le nombre d’aficionados tombés amoureux de Lynn Minmay, produit du fabuleux chara-designer Haruhiko Mikimoto. En vérité, la recette de tout membre de la Saga Macross repose toujours sur les mêmes ingrédients primordiaux : des mechas révolutionnaires et améliorés servant des combats très rapides, un triangle amoureux dans lequel le héros s’embourbe dans ses choix et réflexions, et l’utilisation de la musique comme arme pro ou anti-guerre. Dans Macross, les VF-1 et les Regult se mitraillent à toute vitesse dans l’espace, Hikaru Ichijô a son cœur divisé par deux femmes proches de lui et Lynn Minmay se sert de ses chansons pour aider la voie de la paix. Le succès phénoménal de Macross donnera naissance au film-remake Macross : Ai Oboete Imasu Ka ? – Macross Do You Remember Love ? – en 1984, véritable prouesse technique au budget considérable et ôde au personnage de Lynn Minmay dont les tubes cartonneront longtemps dans les charts japonais – le film aide notamment à mieux conceptualiser la notion de ProtoCulture, énigme sous-jacente à toute la saga. Une OAV unique, Macross Flashback 2012, sera produite en 1987, nous offrant quelques minutes de révélations et de chansons sur l’après Macross. Fin de la première partie du mythe au Japon : la série est déclinée en des milliers de produits dérivés, dont les maquettes de Valkyries constituent le cœur essentiel et s’arrachent encore de nos jours à prix d’or – très peu d’anime peuvent se targuer de posséder un merchandising à la fois si gigantesque et de qualité que le petit monde de Shôji Kawamori. Les personnages de Hikaru Ichijô, héros hésitant qui prend de l’assurance au fil du temps, Lynn Minmay pop-star intergalactique, Misa Hayase, officier du SDF-1 Macross et supérieure des escadrons de Valkyries, ou l’inoubliable dragueur et pilote émérite Roy Fokker passent à la postérité. Macross prend continuellement des risques en évitant les poncifs de ses contemporaines : la série n’hésite pas à liquider en mission certains de ses protagonistes les plus populaires, montre que même les Zentraedi ont leurs petits problèmes internes à régler, conclue la bataille ultime plusieurs épisodes avant la fin de l’anime, case des éléments scénaristiques complexes au milieu de scènes plus futiles, va plusieurs fois à l’encontre de ce que les fans attendent. Elle se permet aussi de fréquents moments d’humour dont certains sont à ranger dans les annales – l’infiltration de trois Zentraedi dans le Macross, chargés d’étudier la culture terrienne, est hilarante de naïveté. Macross série sur le choc des cultures ? Entre multitudes d’autres thématiques, oui. Le graphisme vieilli de l’anime et certaines de ses valeurs typiques du début des années 80 – un petit côté fleur bleue omniprésent – ne doivent surtout pas vous faire reculer devant ce classique indémodable et co-fondateur d’un nouveau standard.

Macross II : une aventure alternative

En 1992, pour fêter les dix ans de l’œuvre, Kenichi Yatagai et Haruhiko Mikimoto proposent Chojiku Yosai Macross II : Lovers Again, une série en 6 OAV qui se veut la suite de Macross – Shôji Kawamori n’y participera pas. En fait, la continuité de la Saga Macross effacera Macross II : Lovers Again de son univers après coup, l’établissant comme fin parallèle indépendante des dérivées suivantes. Quatre-vingt ans ont passé depuis le conflit entre les Terriens et les Zentraedi : les deux peuples vivent désormais en paix au cœur de la même société terrestre où le calme est revenu. Un jour pourtant, l’UN Spacy est contraint d’envoyer ses Valkyries à l’attaque d’une flotte ennemie qu’elle prend tout d’abord pour des dissidents Zentraedi. Le jeune Hibiki Kanzaki, journaliste à scandales de la SNN, est envoyé par la chaîne pour couvrir l’évènement. Il revient sur Terre avec des images qui seront censurées par les militaires mais surtout avec Ishtar, jeune fille issue d’un vaisseau ennemi et de laquelle il espère obtenir un scoop. En fait, les assaillants de la Terre sont les Marduks, un peuple agressif et qui contrôle hypnotiquement les Zentraedi via les chants de guerre clamés par leurs émulatrices. Ishtar étant l’une de ces émulatrices, les Marduks vont tout faire pour la récupérer : c’est le début d’une nouvelle guerre où Hibiki Kanzaki et la pilote de VF-2 Sylvie Gena auront beaucoup à faire pour convaincre l’Armée de réactiver une dernière fois le SDF-1 Macross, en sommeil depuis le dernier conflit…

Macross II : Lovers Again

a obtenu un succès très mitigé, et de l’accord de la plupart des fans, il s’agit là du segment le plus faible de la saga – par ailleurs segment alternatif. Plein de bonnes idées émergent du lot mais en milieu de série la guerre prend le pas sur le charme de la relation entre Hibiki Kanzaki et Ishtar : certes l’œuvre est respectueuse de Macross, certes le mecha-design est convaincant, les personnages attachants et le scenario beaucoup moins plat que certains se sont amusés à le dire. Pourtant la sauce ne prend qu’à moitié et les Marduks, davantage vilains que leurs prédécesseurs, sont nettement moins intéressants que ne l’étaient les Zentraedi, qui eux pouvaient être ridiculisés sans jamais perdre de leur charisme. Un ersatz de contexte socio-politique et une histoire de croyance ancestrale envers un vaisseau Alus fédérateur rendent sa dignité à une suite qui fait tout comme Macross, mais en moins bien. De son côté, ignorant et gommant cette suite à laquelle il s’était soustrait, Shôji Kawamori travaillait à la fois sur Macross Plus et sur le plus gros morceau, Macross Seven.

Macross Plus : l'entrée dans le monde adulte

Macross Plus paraît sous la forme de 4 OAV en 1995 – Macross Plus Movie Edition paraîtra peu après, assemblage des mêmes OAV agrémenté de nouvelles scènes plus explicatives. Cette fois le chara-design, un peu plus adulte, est confié à Masayuki. Doté d’un budget conséquent et d’une qualité d’animation filmique, ce nouveau projet redore le blason de la Saga Macross avec une histoire solide maculée de spleen amoureux et de combats aériens réalistes et dantesques, ainsi qu’une bande-son exceptionnelle de Yoko Kanno : les trois éléments sine qua non de Macross sont là ! En l’an 2040, les humains ont colonisé la planète Eden où doit prendre place un certain Projet Super Nova. Des essais y sont menés sur les nouveaux appareils transformables de l’Armée : les prototypes YF-19 et YF-21, dont seul le plus performant sera retenu. Le fougueux pilote Isamu Alva Dyson arrive sur Eden et y retrouve avec surprise deux connaissances d’enfance, son ancien ami Guld Goa Bowman et Myung Fang Lone, devenue manager d’une chanteuse virtuelle nommée Sharon Apple. Alors que la rivalité entre les deux vieux amis pour le cœur de Myung Fang Lone monte en flèche, renforcée par leur obligation de confrontation que supposent les tests sur les nouveaux modèles de chasseurs, le programme informatique Sharon Apple prend peu à peu son indépendance et infiltre le Macross, tandis que le gouvernement laisse transparaître ses véritables intentions : la création d’un Valkyrie de nouveau type à intelligence artificielle…
Macross Plus est un coup de maître. On ne s’attardera pas sur la réalisation sublime de l’ensemble – stupéfiante malgré une mise en scène un peu longuette au départ – et sur le mecha-design de haute qualité de Shôji Kawamori. Cette histoire prenant place durant la célébration des trente ans de la victoire contre les Zentraedi distille le mystère avec brio, et les relations tendues entre les trois protagonistes, qui ont un sombre passé commun, ne manquent pas de susciter la curiosité du spectateur, qui obtiendra la plupart des réponses mais jamais de manière frontale. De la même façon, la nature réelle du personnage virtuel de Sharon Apple en appelle à une réflexion sur les liens entre technologie et humain, entre rêve et réalité. Plus noir, plus difficile et matûre que ses prédécesseurs, Macross Plus se permet aussi d’introduire Macross Seven en expliquant l’origine de ses nouveaux Valkyries.

Macross Seven : l'heure de la récréation

Complètement inédite en France, Macross Seven débutée en 1994 est la véritable suite de Macross, où Shôji Kawamori et Haruhiko Mikimoto se retrouvent enfin. Dotée de 51 épisodes – dont deux spéciaux – de deux séries d’OAV – Macross Seven Encore en 3 OAV en 1995 et la séquelle Macross Seven Dynamite en 4 OAV en 1997 – d’un film – Macross Seven : Ginga Ga Ore Wo Yonderu – et d’un manga parallèle en 8 Tomes de Haruhiko Mikimoto – Macross Seven Trash – Macross Seven est la plus vaste des nébuleuses de la Saga Macross. En 2045, Terriens et Zentraedi vivent désormais ensemble, réconciliés et unis jusque dans la procréation. Comme prévu suite à la dernière guerre, la Terre a construit de nombreuses autres forteresses SDF et les a lancées dans l’espace à la recherche de planètes colonisables. Le destin de la septième flotte d’émigration longue distance, du Macross 7, se voit modifié lorsque celle-ci devient la cible d’une race d’extraterrestres jusque là inconnue, les Proto-Devils, mystérieusement liés à la mythique ProtoCulture. Mais le Macross 7 possède en surplus une arme bien particulière : le groupe de rock FireBomber, formé entre autres par Basara Nekki et Mylene Jenius, chanteurs vedettes et pilotes de Valkyries ! Ca va chauffer…

On comprend très vite que Macross Seven et ses dérivées se prennent bien moins au sérieux que les autres segments de la Saga Macross : plus humoristique, plus kawaii et donc plus commercial, l’anime s’adresse à un nouveau public, avec les concessions scénaristiques que cela impose. Outre les fans de jolies poupées à la Mylene Jenius, les passionnés de mechas sont comblés d’emblée : du VF-19 Excalibur au VF-17 Nightmare – entre multitude d’autres gros engins superbes au potentiel marketing exploité dans tous les magasins – Macross Seven est le plus gros fournisseur en Valkyries de la saga. Néanmoins, il serait injuste de réduire la série à de la simple pitrerie de robots qui se tapent dessus entre deux gags grivois. Car si l’anime correspond partiellement à cette description, force est de constater qu’il complexifie l’univers global de la Saga Macross de manière tout à fait intéressante : il faudra que le spectateur traite avec les Zentraedi et Meltraedi, les croisés Terriens et Zentraedi-Meltraedi, l’Armée de Supervision, la ProtoCulture et maintenant avec les Proto-Devils. Histoire de se défrustrer les neurones, la série nous offre au travers du groupe fictif FireBomber tout un cortège de morceaux pop-rock qui sont pour beaucoup dans le succès qu’a eu l’anime et qui rythment très efficacement cette œuvre plus légère et portée sur l’action. En outre, Macross Seven – dont le dernier quart retrouve de la gravité de la première série – se rattache parfaitement à Macross du fait que certains personnages sont communs aux deux aventures – quand ça n’est pas leur descendance qui est impliquée – et que la ProtoCulture, cette source d’engendrement des espèces, n’est jamais bien loin. D’autre part, péripéties romantiques et chansons, même modernisées sont toujours là et le héros Basara Nekki se démarque bien de ses prédécesseurs. Macross Seven, à défaut d’être très originale, est une chouette série d’action bien au-dessus de la moyenne du genre. Sa popularité permit à la Saga Macross de voir plusieurs histoires dérivées naître directement en jeux-vidéos, notamment Macross VFX.


Macross Zero : la boucle est bouclée

En 2002, pour fêter les vingt ans de la Saga Macross de manière plus substancielle qu’avec le seul clip magnifique de Macross XX, Shôji Kawamori lance une série en 5 OAV : Macross Zero avec Junya Ishigaki au chara-design. Fait original, Macross Zero est une préquelle se déroulant un peu plus d’un an avant le début de Macross et utilise comme leitmotiv des images de synthèses lors des scènes à mechas. La Guerre d’Unification est toujours vivace et de violents combats ont lieu dans les airs entre les chasseurs des Forces Unies et ceux des Opposants à l’Unification. Durant un échange de missiles peu cordial, l’avion de Shin Kudou est abattu par un engin capable de se transformer en humanoïde ailé. Le pilote des Forces Unies se réveille sur l’Ile de Mayan, terre isolée du reste du monde où les indigènes locaux vénèrent et craignent le culte des Hommes-Oiseaux, venus créer Mayan et ses habitants dix-mille ans auparavant. Shin Kudou noue des liens avec la prêtresse de la tribu, Sara Gnome, dont le chant mystique possède des facultés surnaturelles et qui semble beaucoup intéresser les scientifiques des Forces Unies : ceux-là même qui, dans un porte-avion situé non loin de là, dissimulent une relique ancestrale et très convoitée qui pourrait bien être la réponse à la Théorie de la ProtoCulture. De nouveau plongé dans la bataille contre les Opposants à l’Unification, mais cette fois à bord de la première lignée de Valkyries, Shin Kudou parviendra-t’il à empêcher la résurrection des Hommes-Oiseaux ?

La Saga Macross atteint son apogée technique et scénaristique avec Macross Zero, série d’OAV la plus excitante jamais réalisée par Shôji Kawamori, inédite en France. L’animation sur ordinateur du Studio Satelight est à tomber par terre, les séquences de combats en 3D littéralement impressionnantes, l’intrigue riche en révélations sur la Saga Macross tout en conservant une forte aura de mystère, et la traditionnelle histoire d’amour est ici bien plus subtile et significative. Macross Zero n’est plus un anime à mechas : Macross Zero est, tout comme l’était Macross, une véritable œuvre de science-fiction – ou par ailleurs le vocabulaire scientifico-technique a doublé, époque oblige – soutenue par une bande-son fichtrement originale et tribale de Kuniaki Haishima. Quoi de plus stimulant pour le fan que de s’émouvoir devant le prototype VF-0, de redécouvrir le personnage de Roy Fokker sous un nouvel angle, d’en apprendre enfin davantage sur l’UN Spacy et la ProtoCulture – sans que tout soit explicitement étalé sur un plateau bien sûr – le tout enrobé d’un scenario à haute tension et de protagonistes à la psychologie finement étudiée ? Trop courte et sous-estimée, Macross Zero n’en demeure pas moins le meilleur cadeau d’anniversaire que l’on pouvait faire à la Saga Macross : une pépite d’intelligence et de technologie où machines glaciales et grises côtoient merveilles écologiques. Toutefois, cette dernière série d'OAV a reçu un accueil suffisamment glacial pour que l'on évoque la fin de la Saga Macross, en dépit d'indéniables qualités. Un tour de force considérable dans un marché de plus en plus saturé par des anime à suites sans saveur. Et preuve supplémentaire de l’adaptabilité systématique de la Saga Macross à son époque.

opening (fr) de robotech :


opening de macross :


opening de sd macross :


opening de macross 2 :


opening 1 de macross 7 :


opening 1 de macross 7 dynamite :


opening 1 de macross vf-x :


opening 2 de macross vf-x :


macross zero (amv):


opening macross frontier :

c'est clair ! La plupart des macross sont des super series ! Mais le meilleur est je pense de loin Macross Zero maginifique, sans doute l'anime le plus beau que j'ai pu voir ( graphiquement ) !

une tite mise à jour et mise en page de la saga (textes, couleurs, liens des génériques). Donc surtout l'opening du nouveau Macross Frontier pour les 25 ans de Macross >w<


macross powaaa

Ah Macross que de bons souvenirs...
Des animes vraiment géniaux avec plein de transformations robots/avions (surtout le Macross Zero qui est pour moi le plus réussi), des combats magnifiques, de la tire de missiles à ne plus en pouvoir les comptrer, enfin bref, que du bon pour ces animes classés dans la catégorie Mecha ...

Et comme le dit Polo-san Macrosss powaaaaa

ça manque d'images tout ça...


Macross Plus a été l'un de mes premiers animes. Le premier avec un scénario assez compliqué pour que je regarde 2 fois.

J'ai bien envie de le revoir tiens, je vais allez me trouver ça.

Quand j'étais gamine je regardais tous les épisodes de Robotech sur la 5. Quelques années plus tard je suis tombée sur l'intégrale en DVD japonais (sous titrage anglais) lors d'un salon manga sur Paris et je n'ai pas pu résister lol

Par contre je n'ai jamais vu les autres séries, qui apparement ont l'air très bien, je vais m'y mettre...

Je savais pas si je devais le poster ici ou faire une fiche, mais en tout cas, je vais parler ici de Macross Frontier.
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Oula ! Je suis en retard question Macross, pour tout dire, je regarde et regarderai je pense que celui la mais je suis sur de le regarder en entier [Capiche ? ]

Bref, j'ai été bluffer par la qualité graphique de cette série, qui vien de débuter [1 episode sortit], et qui ma rappeller avec ses Batailles Spatiale en chef d'oeuvre que vous conaissez tout : Star Wars
> Le Chara'Design est Magnifique, de trés beaux dessins, trés mature aussi mais trés beau. [Mature colle avec meccha non ?]
>Pourquoi est-ce si bien Animé ? Tel est la question ... [On m'aurait dit que c'était un film d'Animation j'aurai couru, avant d'aller dans Animeka xP]
> Ce qui est du Scenario, Je decouvre un Anime de Meccha ou il y a des Extra-Terrestre, bon ! Ah voir. Mais l'époque est tres interessante, la technologie tres évolué e qui me plait énormement.
> Wahou : Beaucoup d'OST aussi. Petit jeu avec la Musique du Film et dans le Film, mais altérné le Concert et la Batailles Spatale rend spécialement bien.

>> Bah oui je sais je suis pas doué pour organiser le tout ... Bref, super série. Je vais peut etre look le Zero tiens ...

PS : La on est dans 'Anime Licencié' mais, on s'epare ou pas Macross Frontier vu qu'il ne l'ai pas lui ?