Voilà, un texte que j'ai travaillé un peu plus, je me suis inspiré en partit des films Beetlejuice et Nightmare before Christmas pour l'écrire. J'ai adoré l'écrire et j'espère que vous aurez beaucoup de plaisir à le lire. Désolé pour les fautes, mais dans mon cas, les fautes sont comme des cafards, même une bombe atomique ne pourrait pas tous les détruires.La lune : réservé à l'Empereur
1er sceau : L'Empereur apparaît
Antoine, un adolescent de 16 ans, est victime de raillerie de ses compagnons de classe. Ce 16 avril n'avait pas été une exception, plaisanterie et farce servant à le ridiculiser avait été mis sur pieds. Alors qu'il était de nouveau taxé par les mêmes jeunes, au loin, apparut un nouveau monde au yeux des humains.
Une légère brume se leva et dans cette même masse de gaz apparut une forme énorme qui avançait. Intrigué, tout le monde cessa leur activité respectif pour accorder un peu d'attention à cette chose. Antoine fut alors séparé de ses oppresseurs, mais il n'accorda point d'attention à cette forme pour autant, il soupira et baissa simplement la tête.
Quand la chose fut enfin visible on pouvait entendre partout : "Putain! C'est quoi ce truc!" Ça apparut enfin. C'était une montage de livre qui semblait être figé dans le temps, cette montagne était monté sur quatre roues de carriole et était attelé à rien, poussé par rien. Le curieux carrosse s'immobilisa et trois petites têtes apparus.
Ils débarquèrent rapidement, on ne leur aurait même pas donné 7 ans. Tout les trois de la même grandeur, un était habillé de noir, un autre de rouge et le dernier était en bleu. Tout les trois portaient des masques blanc sans dessin distinctif. Ils déambulaient au travers des gens en criant :
-Boss, où êtes vous?
-C'est important, Mr. Pyro!
-C'est même plus qu'important Pyro-kun!
Après quelques minutes de recherches il s'arrêtèrent enfin devant Antoine et heureux ils crièrent d'une même voix :
-Boss! Vous êtes là! Nous avons pu la retrouvé, Mr. Pyro!
Les bras croisés, Antoine se plia en deux pour pouvoir les regarder de plus près.
-C'est très bien vous trois, alors, donné la moi, prononça Antoine d'une voix énervé.
-Hé bien...., dit celui en noir.
-En faite, nous l'avons retrouvé, mais...., continua celui en rouge.
-Elle est surveillée par les oiseaux de malheur et ils ont tentés de nous tuer, Pyro-kun, finit celui en bleu.
Antoine s'appuya au mur et semblait très énervé.
-Je vous est pourtant dit de ne jamais venir ici! cria t-il. En plus, vous revenez les mains vides!
-On est désolé..., commença celui en bleu.
-Mais il n'avait que vous qui..., poursuivit celui en rouge.
-Pouvait nous en débarrasser! finit celui en noir.
-Je vais donc faire votre travail à votre place, c'est cela?
Les trois petits êtres ricanèrent d'un rire sombre et mesquin.
-Très bien, allons-y, dit Antoine.
Les quatre marchèrent jusqu'au carrosse se frayant un chemin au travers des humains effrayés. Les trois petites têtes montèrent en premier, mais quand Antoine arriva pour monter, les petites choses se coucha sur le ventre et, tout en battant des pieds, celui en rouge prit la parole :
-Dites boss, ce ne serait pas plus prudent si vous repreniez votre apparence?
-Chaos à raison Mr. Pyro, face au oiseaux de malheur, seul avec votre apparence, vous pourriez gagné, ajouta celui en noir.
Contrarié, Antoine s'avoua battu. De sa poche arrière, il sortit une carte de jeu qui représentait un Joker. Son bras droit tendu et au bout de sa main, la carte déployé, Antoine ferma les yeux et cita :
Par la présence des ombres,
Par le sang qui coule,
Moi, je te demande à toi,
Gaïa, Déesse des forêts,
De me rendre mon apparence une nouvelle fois,
Je te le demande,
Moi, Pyro,
Empereur des Cauchemars,
Mari de la terreur et de la peur,
Second fils de Lucifer,
Moi, la balance de l'ordre et du chaos.
Quand Pyro finit cette strophe, la carte, ses vêtements et sa peau partit en cendre et un nouvel être apparut. Les cheveux et les sourcils blanc, le teint blafard, deux cicatrices au visage qui partaient de ses yeux et ce rejoignaient au bas du visage, des yeux d'un vert émeraude, des pantalons de cuir noir, des souliers hautes-formes qui y rajoutait au moins 8 cm à sa grandeur réelle, une chemise où on pouvait voir la voûte céleste et un veston ouvert qui tombait jusqu'au genoux.
Cette nouvelle personne était bien Pyro, Empereur des Cauchemars, Maître de la Nuit.
Maintenant revenue dans sa vraie forme, Pyro monta les escaliers formé de livre et se laissa tomba au fond du carrosse. Désormais, seul ses pieds, qui était posé sur une pile de livre, étaient visible.
-Allez, on y va! cria le petit en rouge.
Immédiatement, comme d'instinct, les trois petits commencèrent à chanter alors que leur véhicule avançait, mais leur mélodie fut étouffé, car ils reçurent chacuns un livre derrière la tête.
-Mr. Pyro! C'est pas drôle! cria celui de noir.
-Tout à fait! On à rien fait nous! affirma celui en bleu.
-Comment!!? s'écria Pyro en se redressant dans le carrosse. Vous devez pas chanter, vous devriez avoir peur d'être puni!!
-Avoir peur d'être puni? Pourquoi Boss? demanda celui en rouge.
-C'est simple, commença Pyro, premièrement, vous êtes venu me voir les mains vides alors que je vous avez dit de ne pas revenir tant que vous ne l'auriez pas et deuxièmement, vous êtes venu alors que j'étais entouré d'humain, ce qui est très interdit. Je me demande comment vous allez être punis?
-Très drôle Pyro-kun! commença celui en bleu. Nous punir, vous allez faire quoi? Nous privez de dessert?
-Ou bien de sortir? rajouta le noir.
-Non, non, il va sûrement nous prendre par les pouces, termina le rouge.
Sur ce, les trois petites pestes rigolèrent sans retenu. Pyro, lui, dessina un merveilleux sourire mesquin sur son visage.
-Vous pendre par les pouces? commença l'Empereur des Cauchemars, non, je ne suis pas un monstre, je vais simplement vous confisquer vos jeux Resident Evil.
-KWAAA!!?? s'écria les trois d'une même voix.
-Vous êtes vraiment un monstre Mr. Pyro, termina celui en noir.
Sur ce, plus un son dans le carrosse. L'Empereur lisait et les trois autres pleuraient et espéraient que cela ne sois que des fausses menaces. Après quelques temps, le véhicule au allure monstrueuse s'engouffra dans un brouillard de plus en plus épais pour enfin apparaître dans une forêt avec des arbres géants.
Après une dizaines de minutes de route, la carriole s'immobilisa enfin. Ils se trouvaient dans une petite clairière entouré d'arbre de plus en plus grand. En son centre ce trouvait un socle de pierre éclairé par la seule lumière qui pouvait pénétrer dans cette forêt. Au dessus du socle, dans les airs, trois formes blanches volaient en rond comme des vautours. Quand les trois formes volantes remarquèrent la carriole, ils se posèrent devant le véhicule. Trois anges qui portaient des plastrons et étaient armés de pavois ainsi que de lances formaient barrières entre la carriole et le socle. Le plus imposant des trois, qui était le plus près du carrosse, avait des reflet or dans ses ailes.
-Encore vous trois, s'écria l'ange aux ailes dorées. Vous êtes revenus pour vous faire tuer.
-Ne parle pas ainsi à mes serviteurs l'oiseau de malheur, cria Pyro qui était encore étendu au fond du véhicule. Chaos, Destruction et Désolation n'ont fait ce que je leur ai demandé.
Sur ces paroles, l'Empereur des Cauchemars se redressa. Maintenant assis dans leur véhicule, il salua les anges :"Salut vous autres. Sa faisait longtemps Gabriel."
-Pyro! rumina les trois anges, presque en même temps.
-Héhé, alors, ne passons pas par quatre chemin, tassez-vous le temps que je reprennes la faux.
-Non, le Saint Père nous à demandé de la surveiller et de faire en sorte qu'elle reste scellée.
-Il est chiant ton Saint Père. Tu n'as rien compris, si ton Saint Père voulait à ce point que personne la prennes, pourquoi il ne la pas simplement détruite? Tassez-vous ou je vous bute.
-Cette faux fait partit de la balance, elle ne doit pas être détruite.
Fatiguer d'être assis, l'Empereur se leva. Toujours dans la carriole, il paraissait encore plus menaçant.
-Tu me fatigue Gabriel, prononça Pyro. Désolation, donne moi mon épée.
Sans perdre de temps, la petite tête noir disparu dans le fond de la carriole. Quelque instant plus tard, apparu une épée dans un fourreau que Pyro saisi sans attendre.
-Merci Désolation. Je vais te dire la différence entre toi et moi, Gabriel. Quand l'Archange que tu es se prépare à combattre, on semble voir la main de Dieu qui l'aide. Quand, moi, Pyro, Empereur des Cauchemars, je dégaine mon épée, c'est une condamnation à mort pour tout être visé, ton Saint Père y compris.
Dès qu'il finit sa phrase, Pyro dégaina sa lame. Une épée noire comme la cendre, on ne pouvait distinguer où finissait le manche et où commençait la lame. La pression de l'air s'allourdi énormément. Le soleil fut caché par des nuages noirs qui amena une nuit en après-midi. Pyro s'éleva dans les airs à la manière d'une marionnette tirée et commença à chanter une mélodie :
Moi, Pyro,
L'être torturé,
Poussé dans le gouffre,
Investigateur de la folie,
J'amène la terreur,
Je sème la destruction,
Je suis le porteur des Quatre Cavaliers,
Je brûle la voûte Céleste,
Je ramène les morts,
Moi, roi de l'obscurité,
Je t'invoque, Je t'appelle,
Car je suis assez égoïste pour prétendre être important
Au point d'enlever des vies.
Alors apparaît devant moi Grand Urakinia
Tournoyant dans les airs, l'Empereur des Cauchemars fendit l'air avec son épée. L'atmosphère était tel que si on respirait, c'était comme respirer des aiguilles. Pyro se posa enfin au sol dans un vacarme de tonnerre. Debout devant les trois Archanges, il était immobile comme une statut.
-Alors, c'est tout Pyro, s'écria Gabriel.
-Je vois, alors vous ne connaissez pas les Urakinia, répliqua l'Empereur.
Au même instant, quatre jongleurs apparut autour des Archanges. Habillé en clown de foire, les yeux fermés, leurs mains en sang, ils jonglaient avec de lourdes balles de plomb qui leurs écorchaient les mains. Intrigué, les trois êtres ailés se préparèrent au combat, pavois levés et lances baissées.
Le combat fut rapide. Les jongleurs laissèrent tomber leurs balles de plomb pour disparaître dans la terre. Ils réapparurent derrière les anges et, avec leurs dents, les clowns jongleurs dépecèrent les êtres ailés dans une mélodie de cri, de lamentation et de sang. Désormais en morceaux, les anges avaient été battu par les jongleurs qui disparurent avec le vent et la poussière.
Quand le dernier ange mourut enfin, Pyro rangea sa lame dans son fourreau, l'air s'allégea, les nuages se désintégrèrent pour laisser place au soleil. Il lança son épée dans la carriole et, tout en remonta dans le véhicule, il distribua quelques ordres.
-Désolation, range mon épée, Chaos, Destruction, allez me chercher cette faux.
D'une même voix aigu, les trois petits monstres s'écrièrent : "Oui!", avant d'exécuter leur ordre avec joie et rire.
-Hmmmmm, le vieux Barbu connaît l'existence de la faux, se préoccupa l'Empereur des Cauchemars. Si lui le sait, cela veut dire que le frère et le père le sait aussi. Je devrais peut-être me dépêcher, la Faux du Farceur à plein de secret amusant à percer.
Il était partit dans ses rêves avec un regard qui montrait qu'il jubilait à la simple idée de penser à ses ambitions.